Le nomade est enturbanné, le vent du désert l'a dévêtu pour le tatouer de signes particuliers, comme
'l'essouf' et le Tenéré qui l'ont absorbé dans sa lutte incessante d'apprivoiser le climat dur et
enchanté. La mort et la peur l'ont toujours habité. Devant lui les dunes défilent, derrière lui les
montagnes se montrent hostiles. Enveloppé dans sa 'guandoura' il médite et cherche la solution à la
question posée sans réponse.
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